Gérard Guyomard (né en 1936)
Concernant Gérard Guyomard, peintre français né en 1936, les dictionnaires ont tranché : membre de la Figuration narrative ! Rien de plus exact à la vérité. Par nature, ce formidable autodidacte, allergique aux simples abstractions, aime raconter des histoires. Figuratif, donc. Et narratif… Mais à la condition d’ajouter que Gérard Guyomard se revendique surtout comme un homme libre, sinon libertaire… Un homme qui, des années durant, refusa de se considérer en artiste, préférant la notion d’« artisan ». Ce qui rappelle le portrait de Jean-Luc Chalumeau à propos d’un autre membre de la Figuration narrative, Jean Le Gac : « Un cas extraordinaire d’artiste ayant résolu, une fois pour toutes, de ne pas faire carrière. » Mot pour mot, cette même définition s’applique également à Gérard Guyomard !
D’ailleurs, il était déjà réputé pour sa première carrière : celle d’un restaurateur de tableaux extrêmement doué qui se voyait régulièrement confier différentes toiles muséales, certaines en provenance du Louvre, certaines en provenance du Prado ! Sans oublier des œuvres plus modernes, réalisées par Max Ernst ou Hans Bellmer… La preuve, en somme, d’un savoir-faire hors norme, aussi large qu’éclatant. Si bien qu’à l’amorce des années soixante, ce génial technicien décida d’imposer au public ses propres images, sa propre fantaisie. On connaît la suite : des expositions nombreuses, des deux côtés de l’Atlantique, des ventes, des articles louangeurs et de fervents amateurs.
Comme Valerio Adami, comme Erró, Peter Klasen, Antonio Seguí et Vladimir Veličković, Gérard Guyomard est venu exposer au Centre Cristel Éditeur d’Art, à Saint-Malo. Le début d’une collaboration confiante, ponctuée de créations qui lui ressemblent. On veut dire : des œuvres enlevées, signées par un observateur de notre temps. Soulignons, à cet égard, que Gérard Guyomard travaille dans un vaste atelier clair, ouvert sur l’une des rues les plus passantes de Paris. « Je peins ce que je vois », explique-t-il…
D’ailleurs, il était déjà réputé pour sa première carrière : celle d’un restaurateur de tableaux extrêmement doué qui se voyait régulièrement confier différentes toiles muséales, certaines en provenance du Louvre, certaines en provenance du Prado ! Sans oublier des œuvres plus modernes, réalisées par Max Ernst ou Hans Bellmer… La preuve, en somme, d’un savoir-faire hors norme, aussi large qu’éclatant. Si bien qu’à l’amorce des années soixante, ce génial technicien décida d’imposer au public ses propres images, sa propre fantaisie. On connaît la suite : des expositions nombreuses, des deux côtés de l’Atlantique, des ventes, des articles louangeurs et de fervents amateurs.
Comme Valerio Adami, comme Erró, Peter Klasen, Antonio Seguí et Vladimir Veličković, Gérard Guyomard est venu exposer au Centre Cristel Éditeur d’Art, à Saint-Malo. Le début d’une collaboration confiante, ponctuée de créations qui lui ressemblent. On veut dire : des œuvres enlevées, signées par un observateur de notre temps. Soulignons, à cet égard, que Gérard Guyomard travaille dans un vaste atelier clair, ouvert sur l’une des rues les plus passantes de Paris. « Je peins ce que je vois », explique-t-il…
